Les beurres à fuir en supermarché : les recommandations de 60 Millions de consommateurs

Odeur de brioche qui flotte dans la cuisine, tartine qui coule sur les doigts… Le beurre, c’est un peu le doudou de la bouffe française, hein. Sauf que derrière le joli carré doré, 60 Millions de consommateurs vient de casser l’ambiance avec une enquête qui sent plus la magouille que la vache normande. Entre additifs chelous, taux de “gras” bidouillé et étiquettes qui te vendent le terroir alors qu’en vrai, on dirait un épisode cheap des Sims version industrie agro’. Petit rappel : en 2023, chaque Français s’enfilait 2,75 kg de beurre par an, soit la base dans quasiment tous les placards, du studio de Corine à l’appart étudiant où la vaisselle trempe trois semaines. Mais la vraie galère, c’est qu’entre Président, Lidl, Isigny Sainte-Mère ou Les Croisés, tous les beurres ne jouent pas dans la même cour. Focus sur les beurres qui, selon 60 Millions de consommateurs, font grincer des dents… Et sur les vraies manières de choper LA plaquette qui ne va pas ruiner tes pâtes carbo (ni ta santé).

Beurre : les références à éviter selon 60 Millions de consommateurs

Imagine : tu crois acheter du “vrai” beurre qui va donner du goût à tes patates sautées… et tu tombes sur une tartine d’entourloupes. D’après le comparatif 2025 de 60 Millions de consommateurs, certaines références, genre Les Croisés léger (E.Leclerc) ou Elle & Vire doux 41 %, sont franchement à fuir si tu tiens un peu à ton microbiote. Mini bestiaire des beurres suspectés de retourner ta cuisine en sketch Netflix :

• Beurre doux ou demi-sel Eco+ (E.Leclerc) : Affichage discret de “teneur réduite en matières grasses”, planqué à 60%. Le genre d’entourloupe qui te fait finir avec une tartine aussi molle qu’un épisode filler de Friends.
• Les Croisés léger 40% (E.Leclerc) : Bonus offert : amidon, épaississants, émulsifiants, conservateurs. Bref, le beurre version post-apocalyptique… Rien ne manque, sauf la crème.
• Elle & Vire doux 41% : L’étiquette crie “sans additif”, mais l’ingrédient surprise, c’est l’amidon planqué. Tu veux un beurre ou une purée Mousseline ?

Même avec la promesse “Lidl marque propre” ou “Carrefour marque propre”, mieux vaut lire l’étiquette à la loupe, car la tentation de tricher se cache souvent derrière des mots gentils.

Comment reconnaître un bon beurre sans se faire avoir ?

Dans le rayon frais, difficile de ne pas se faire hypnotiser par les jolies couleurs de Président, Cœur de Lion, Paysan Breton, ou encore Grand Fermage. Mais attention : la différence entre un vrai beurre et un ersatz marketé, c’est souvent une question d’étiquette et de deux ingrédients. Petit kit de survie pour la prochaine virée chez Casino :

• Un beurre digne de ce nom, c’est plus de 80% de matières grasses et rien d’autre que crème + ferments lactiques. Période.
• Le mot “léger” sur l’étiquette = recette bidouillée, ingrédients douteux, goût de rien. Autant tartiner du play-dough.
• Un AOP Isigny Sainte-Mère ou Grand Fermage ? C’est plus la traçabilité que la promesse d’un beurre fait main. Pas forcément mauvais, mais ça ne transforme pas tout en Paris-Brest non plus.
• Lidl ou Carrefour, même combat : on repère les ingrédients bonus (épaississants, arômes), et si la compo fait plus de deux lignes, next.

Au final, la vibe sera toujours meilleure avec une petite liste d’ingrédients et un gras qui fait fondre la poêle (et un peu ton cœur).

Léa VS Corine : acheter du beurre entre galère, marketing et bouffonnerie agro

Scène de crime : rayon frais d’un supermarché à 19h, deux étudiantes paumées devant 32 types de beurres dont la moitié se la pète terroir. Léa romantise tout : “Si c’est bio, c’est stylé, non ?” Corine la remet vite sur Terre : “Tu vas payer 3 euros de plus pour un logo vert ou c’est juste pour la story ?” Spoiler : elles finissent à checker la compo sur Yuka (mal connexion et 4G claquée), et à débattre devant une mamie Team Président.

• Léa repère toujours un beurre “Pinterest friendly” (genre Grand Fermage ou AOP), mais flanche dès qu’elle voit les euros s’envoler.
• Corine, elle, scanne tout. Dès qu’elle capte un additif chelou ou moins de 80% de gras, c’est direct retour rayon. Elle traque la vérité comme Cassie planque ses secrets dans Euphoria.
• Le “vrai test” : finir avec du beurre bon, abordable, qui ne se fait pas passer pour un spa iodé made in Normandy alors que ça vient d’une zone industrielle.

Bref, choisir le bon beurre, c’est comme swiper sur Tinder : t’as souvent des mauvaises surprises, mais parfois… jackpot.